«Les Meurtrières de l'espoir racontent des retrouvailles qui sont aussi des adieux. Histoire d'une avancée dans le vide, vers le consentement aux départs nécessaires. Trouées dans la chair que la mémoire érige en fortifications et que la vie consume dans sa perpétuation. Ouverture : la main d'une enfant tendue à une autre, alors qu'entre les deux peut-être quelque chose demeure.»