En dévalant à toute allure la pente de ce qu’il croyait être un simple vallon, il s’aperçut qu’au fond coulait un ruisseau où bouillonnait l’eau libre. Trop tard pour s’arrêter ou changer de direction. Arc-bouté sur sa motoneige, la tête tournée de côté pour recevoir les éclaboussures et le coeur serré d’angoisse, il se sentit projeté vers la surface sombre sans pouvoir tenter quoi que ce soit. Le choc initial fut brutal et Marc s’agrippa aux guidons p